L'année dernière, Laura Ghianda, une Italienne se définissant comme "artiviste", avait tenté de poster un message illustré par la statuette découverte en 1908 en Autriche, conservée et exposée, depuis, au Museum d’histoire naturelle (NHM) de Vienne. Cette tentative avait été infructueuse. Sans aucune explication, la Vénus n'avait pu être publiée sur Facebook.
Suite à cette polémique, le réseau social a tenu à présenter ses excuses par la voix de son porte-parole auprès de l'AFP : « Nous nous excusons pour cette erreur et avons indiqué à l’annonceur que nous approuvons son annonce. Notre politique en matière de publicité ne permet pas la nudité ou la nudité suggérée, mais nous faisons une exception pour les statues, et à ce titre cette annonce aurait dû être approuvée ». Voilà de quoi tout remettre en ordre.